"Un peu au dessous du sommet du Mont-Blanc, ne ressentant aucun essoufflement, je m'arrêtai, bourrai ma pipe et l'allumai afin de voir si je n'aurais
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renouveler. Je quittai l'Angleterre malade, et quand j'attaquai le Cervin le mal n'avait pas encore cédé. Le jour précédent j'avais à peine pris
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"Une fois, sur le volcan de Pichincha, je ressentis, sans aucun saignement, un si violent mal d'estomac accompagné de vertige, que je fus trouvé
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"Je veux m'écrier: "Nous sommes à 8000 mètres." Mais ma langue est comme paralysée. Tout à coup je ferme les yeux et je tombe inerte, perdant
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"Bientôt, je veux saisir le tube à oxygène, mais il m'est impossible de lever le bras. Mon esprit cependant est encore très lucide. Je considère
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"A 3 h. 30 je rouvre les yeux, je me sens étourdi, affaissé, mais mon esprit se ranime. Le ballon descend avec une vitesse effrayante. Mes deux
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"En mettant pied à terre, j'ai été pris d'une surexcitation fébrile, et je me suis affaissé en devenant livide. J'ai cru que j'allais rejoindre mes
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et arrivant avec leurs charges. Comme je leur demandais, non sans étonnement, par suite de quelle bizarre fantaisie ils arrivaient à cette heure, ils
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" Si je ne pus pas dormir, ce n'est pas la couche dure et froide qui en était la cause, non plus la tempète qui burla pendant toute la nuit, mais
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"Je m'assis devant la cabane, mais je me sentis encore pire, et je dus faire de profondes et fréquentes inspirations, sans atteindre la sensation de
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" Le 17 aoùt, c'est-à-dire le troisième jour, je note encore la durée du manque d'appétit, et la fréquence de la respiration.
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dire, nous n'avions pas de goùt. Le vin rouge avait une saveur d'encre, le blanc celle de vinaigre; seul, le café noir ne nous degoùta pas; je l'ai pris
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qu'on apportai dans la cabane un jeune Parisien totalement épuisé. Je voulus me lever pour lui faire préparer quelque chose; ce me fut absolument
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l'oxygène, mais je n'en obtins aucun soulagement."
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ne puisse pas être certifìée, je dois cependant maintenir le fait de la diminution des corpuscules rouges, parce qu'il donne une grande importance à la
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des rampes neigeuses, encaissées, bien protégées contre les vents et ennuyeuses ; je citerai comme exemple le corridor du Mont-Blanc. Tous les rapports
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fait jusqu'ici dans l'étude de ce mal; je me borne à l'indiquer ici."
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"Je vis avec satisfaction, de l'endroit où je me trouvois, que l'on pouvoit fort bien escalader la pointe que nous nous étions proposée pour but de
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tout à coup, je me sentois sans forces et sans courage. Mais le vieux Jos. Beck, chasseur expérimenté, commença à me secouer, à me déplacer, afin que
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"Je fus pendant la nuit attaqué d'une forte palpitation; je croyois étouffer; mais m'étant dégagé des autres je me levai, je pris haleine, et bientôt
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l'air froid du vent du nord. Lorsqu'en montant j'avais le visage tourné de ce cóté-là et que j'avalais à grands traits l'air qui en venait, je
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, essendo la pressione 420 mm. (che è l'altezza del Monte Bianco), dice: "Je me sens assez mal à mon aise; ayant trouvé pour le nombre de mes pulsations
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"Je dormais en marchant, quelqu'effort que je fisse pour me tenir éveillé: un des deux guides éprouvait le même effet" Le Pileur, Mémoire sur les
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J'essayai de m'en passer pendant que j'ajustois le baromètre, mai je ne pus pas y tenir, je fus force de le reprendre, et M. Bourrit fut obligé
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"Le 17 aoùt, c'est-à-dire le troisième jour (dans la Cabane de M. Vallot à 4400 mètres) je note encore la durée du manque d'appétit, et la fréquence
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Contro le influenze alcooliche. Wilh. Bode, Habt ihr's je versucht? Bremerhaven, 1890. - Die Heilung der Trunksucht. Bremerhaven, 1890. - Alkool
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Wilh. Bode, Habt ihr's je versucht? Bremerhaven, 1890. - Die Heilung der Trunksucht. Bremerhaven, 1890. - Alkool-Album. Bremerhaven, 1891. - G. Bunge
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